Les membres du Conseil d'administration de Veolia, certains repris de justesse qui ont une vraie éthique et ne s'intéressent pas à l'argent mais proche du pouvoir politique en place !!!

Publié le par Jean-Luc Touly

14 ont traversé le milieu bancaire, 8 le milieu politique, 6 énarques, 5 polytechniciens, 1 nord américain, 1 canadien , 1 quatari, 1 italien, 1 tchèque et 14 français de 43 ans à 90 ans dont 4 de plus de 70 ans
2 sont passés par la banque Rothschild dont l'ancien dirigeant de la société générale Daniel Bouton
Clara Gaymard est aussi administrateur de Danone , LVMH et Bouygues
Baudoin Prot ancien dirigeant de la BNP est senior advisor du Boston Consulting Group
Le vice président de veolia est Louis Schweitzer. 74 ans ancien patron de Renault et ancien directeur de cabinet de Laurent Fabius entre 1981 et 1986 et participe à 8 autres mandats et fonctions
Antoine Frérot PDG de veolia 2,31 millions d'euros en 2016 occupe en plus 13 autres mandats et fonctions
Enfin, le cas de Pierre Victoria. 62 ans Directeur du développement durable de veolia avec ses 6 autres mandats et fonctions est intéressant car il a été député ps de Bretagne entre. 1991 et 1993 alors qu'il était depuis 1989 chez veolia eau Bretagne
Il est depuis quelques années délégué général du cercle français de l'eau copréside par des parlementaires LR et PS et le représentant de tous les salariés de veolia au conseil d'administration de veolia avec l'étiquette CFDT et plus de 98 000 euros de jetons de présence en 2016

Marc Ladreit de Lacharriere (Fimalac et la revue des 2 mondes qui a employé P Fillon) et Louis Schweizer (N°2 de Veolia et ancien patron de gauche de Renault) copresident le prix du livre d'économie
Daniel Bouton ex patron de la sté générale et l'affaire Kerviel

Le directeur de cabinet de Michel Sapin s'appelle Thierry Aulagnon. Il est marié avec Maryse Aulagnon, PDG du groupe immobilier AFFINE

Clara Gaymard

L'affaire Gaymard est une affaire politico-financière française se déroulant essentiellement du 15 au 25 février 2005.
Le cœur de l'affaire concerne le logement occupé par Hervé Gaymard, son épouse Clara et ses 8 enfants — alors ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie
Des premières révélations du Canard enchaîné du 14 février, il apparaît que cet appartement parisien de la rue Jean-Goujon, un duplex de 600 m2, représente un loyer mensuel de 14 400 euros entièrement payé par l'État. Hervé Gaymard annonce immédiatement qu'il quitte cet appartement. Sa défense consiste à signifier qu'il ignorait le montant du loyer et que ses origines et ses revenus modestes ne lui permettent guère de s'acquitter lui-même d'un tel montant. Une semaine plus tard, le 22 février, un second article du Canard enchaîné révèle qu'Hervé Gaymard connaissait les coûts inhérents à cet appartement et qu'il avait d'ailleurs participé à son choix en le visitant préalablement à sa location ; l'article révèle également que de coûteux travaux ont également été engagés, toujours à la charge de l'État. Enfin un article de Libération du 25 février révèle qu'Hervé Gaymard est assujetti à l'ISF et qu'il est multi-propriétaire, en particulier d'un appartement à Paris situé Boulevard Saint-Michel.
Le 25 février, Hervé Gaymard démissionne de sa fonction de ministre moins de trois mois après l'avoir commencée.
Début mars 2005, après la démission d'Hervé Gaymard, il est annoncé que le dossier fiscal de l’intéressé « a été dérobé ». Thierry Breton, son successeur au ministère, précise que : « la direction des impôts a prévenu Hervé Gaymard de la disparition des documents le 4 février 2005 »6. La date du vol n'a apparemment jamais été connue avec précision. Le journal Libération précise toutefois :
« On peut seulement noter que la date du 4 février se situe trois jours après que l'information sur l'appartement du ministre a filtré une première fois, dans un « confidentiel » de RTL. »
Le 19 septembre 2005, le ministère de l'économie annonce que Hervé Gaymard lui a remboursé la somme de 58 894 euros représentant deux mois de loyer, les frais des travaux engagés ainsi que divers frais généraux inhérents à la location. Ce geste effectué de sa propre initiative est considéré par Libération comme « indispensable pour envisager un retour sur la scène politique ». Le ministère a également précisé que Hervé Gaymard avait réintégré le ministère — son administration d'origine — en la qualité d'administrateur civil hors classe dès le 26 août

Baudoin Prot ex patron de BNP Paribas, l'évasion fiscale et les paradis fiscaux 
Baudouin Prot est assuré de toucher, tout au long de sa retraite, au moins 522.432 euros par an, tous régimes confondus (Sécurité sociale, Agirc-Arrco et cette fameuse retraite chapeau)
Sanctions américaines contre BNP : Baudouin Prot menacé ?
Serge Michel 90 ans présent depuis plus de 30 ans dans le groupe veolia ex générale des eaux et ex vivendi et son ami Alain Franchi ex directeur général de Veolia Eau France mêlé avec son frère à l'affaire d'une société luxembourgeoise Olkypay

Paolo Scaroni En 1992, il est arrêté dans le cadre de l'Opération Mains propres et plaide coupable de corruption en lien avec le projet de centrale électrique à Brindisi (Italie du sud). En 1996, Paolo Scaroni est condamné à un an et quatre mois de prison, mais il n'ira pas en prison, la sentence étant inférieure à la limite fixée pour aller en prison.
En 2006, il est poursuivi devant la Cour d'Adria en tant que PDG de « Enel à l'époque, pour avoir pollué le territoire du Delta du Pô dans la région de Porto Tolle. Il est condamné à un mois de prison, convertie en une amende de 1 140 €. En mars 2009, en seconde instance, la Cour d'appel de Venise acquitte Scaroni, annulant le jugement précédent. En 2011, La Cour suprême confirme le jugement de la Cour d'appel de Venise.

En février 2013, le parquet milanais ouvre une enquête pour corruption. En effet, le PDG d'Eni, Paolo Scaroni, se retrouve au centre de l'enquête menée par les procureurs de Milan et de la police financière sur des pots-de-vin présumés versés à des membres du gouvernement algérien pour promouvoir sa filiale Saipem Eni. Les pots-de-vin présumés sont de l'ordre 198 millions d'euros et portent sur des contrats d'une valeur de 11 milliards de dollars : le 27 juillet 2016 le juge milanais a décidé qu'un procès aurait lieu dans le courant du 2eme semestre 2017 concernant ENI et son ex patron P Scaroni dans l'affaire Sonatrach-Saipem : le cabinet Massack Fonseca révèle dans l'affaire Panama Papers est au centre de cette affaire

Le 4 avril 2014, il est condamné à 3 ans de prison pour non respect des normes environnementales au sein de la centrale électrique de Porto Taullo en Italie et la Cour a annoncé l'interdiction d'exercer dans la Fonction Publique pendant 5 ans pour P Scaroni

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